mardi 9 mai 2017

Deux mois !                                                                                    

Oui, lareynere.blogspot.com a deux mois aujourd’hui ! Et que s’est-il passé en deux mois ?

Plusieurs milliers de pages vues, dont la progression continue et soutenue laisse entrevoir une poignée de milliards de P.V. d’ici l’année 2244, ce qui nous réjouit considérablement.

Des lecteurs qui proviennent de pays aussi divers que la France Omnisciente, bien sûr, en matière de gourmandise, mais aussi les Etats-Unis Popcorneux, le Royaume tout aussi Uni mais pour combien de temps encore, le Canada Sapindacé, la Belgique Mytilée, l’Allemagne du Brot et celle des Kartoffel, l’Italie Pizzaïoleuse, l’Espagne à la plancha, le Portugal Gadiforme, le Maroc Couscoussier, la Suisse aux fruits des fondues, le Japon des makis kakis, le Cambodge Loc-lakien, le Viet-nam des Pho cuôn bien roulés, le Costa-Rica Desemparado et plusieurs autres encore. En quelques décennies, c’est notre Galaxie toute entière qui sera conquise, succombant aux traits et attraits des Arts Gustatifs et Dégustatifs, nés de la plume alerte d'Alexandre, un jour de 1803. Grâce à qui? Grâce à vous.

Les billets les plus consultés sont, et de loin, et dans l’ordre : La Reynière et le Parti d’en rire, le Vote pâtissier et le Macaron président, preuve s’il en est que notre blog gourmand est plus politique qu’il n’y paraît. Les billets les moins consultés sont, en désordre et avec surprise : La Reynière et les femmesFemmes de villes et femmes des champsQuand les maitresses d’Alexandre se retrouvent dans la vitrine de M. Rouget (III –les Hervinettes), preuve s’il en est que la sensibilisation de nos lecteurs aux rapports entre la Sainte Chère et nos saintes chéries est à parfaire, ce qui assure un grand avenir au blog.

Merci à vous tous, lectrices & lecteurs gourmands, gourmets, gastronomes et gastrophiles, vaillants combattants des armées du Palais, qui chaque jour animez la gloire de notre héros, Alexandre Grimod de La Reynière, sans convoiter les honneurs, ni prétendre aux récompenses. Car la franchise nous oblige à le reconnaître, nos deux jeux-concours n’ont eu aucun succès et, donc, aucun gagnant (Le vote pâtissierLes morceaux caquetés se digèrent mieux). C'est à dégouter de vouloir être généreux. Ou alors empruntons au Poète, et rappelons que Plus l'échec est cruel et moins il est fatal - entendu : quand on sait en tirer les leçons. Celle et ceux qui savent qui est ce Poète gagneront un petit cadeau - pas si petit que ça, en fait.

À vous tous qui, dans un élan si grimaldien, ne recherchez que le plaisir, continuez vos lectures, soyez les Ambassadeurs d’Alexandre, diffusez et partagez encore ! Car La Reynière, aujourd'hui et demain, le vaut bien.


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